Alberte Christol

Comment dire tout ce que Alberte représentait pour nous, ce qu'elle apportait à chacun, discrètement, mais à sa façon espiègle aussi. Comme je regrette ce temps où nous nous retrouvions dans le jardin, pour toutes sortes d'occasions. Quelquefois de façon officielle, d'autres plus personnelles. A chaque fois, c'était une joie de voir son sourire, son humour, sa façon de s'installer dans une conversation. Sa façon aussi de bousculer les relations professionnelles, les jeter par dessus bord pour se retrouver simplement entre amis, curieux de l'autre. Sa façon de faire comme si nous étions en famille, partageant ce que nous avions à partager. Et d'abord le plaisir de se voir, de s'écouter, d'apprendre à se connaître. Ces années au laboratoire n'auraient pas été les mêmes sans elle. Et nous n'aurions pas connu ça, le plaisir de se retrouver, de partager. Comme je regrette ce temps là. Roland, cette perte est immense pour toi, elle l'est pour nous aussi. Mes pensées vont vers elle, et elles t'accompagnent.

Rolland, Céline, Je vous adresse toutes mes plus sincères condoléances. Quel plaisir ça a été pour moi de retrouver Rolland et Alberte au LPL, eux que j’avais connus quand ados, nous jouions au basket ensemble, Céline. Alberte était toujours de bonne humeur et je la savais une grand-mère comblée. C’était un plaisir de papoter avec elle de temps en temps au labo. Je m’associe à votre peine. Je ne pourrai être avec vous demain car je suis loin d’Aix, mais je serai là par la pensée. Avec toute mon amitié, Sophie (Herment).

Toutes mes sincères condoléances à son époux et leurs proches. Je garde d'Alberte, une femme toujours radieuse et pleine d'entrain. Ce 14 juillet est peut-être sa façon de nous quitter en gardant en mémoire sa gentillesse et son sourire. Amitiés

Mes plus sincères condoléances.

Nous avons connu Alberte à Aix, au laboratoire parole et langage. C'était toujours un plaisir de la croiser et de discuter avec elle. Nous gardons le souvenir de sa bonne humeur et de sa générosité. Nous ne l'avions pas vue depuis longtemps et ignorions qu'elle était malade. Coïncidence, mercredi 14, le jour de son décès, nous avons parlé d'elle et de son mari. Nous pensons bien fort à sa famille dans cette épreuve difficile. Alain Ghio et Marion Tellier